Lutter contre la civiphobie pour une nation unie et forte.

La civiphobie, c’est la haine ou le rejet d’une partie de ses propres concitoyens, en raison de leur langue, religion, culture ou origine régionale. Ce n’est pas de la xénophobie — ici, on ne parle pas d’étrangers, mais bien de rejet entre citoyens d’un même pays. Ce mot offre une clé de lecture nouvelle pour comprendre certains conflits, comme en Ukraine, où les tensions internes précédaient la guerre. Ou encore en Espagne, Belgique, Algérie, canada, Tunisie, suisse... où des fractures régionales menacent parfois l’unité nationale. Reconnaître la civiphobie, c’est prévenir l’escalade, restaurer le dialogue national et défendre une citoyenneté égalitaire et indivisible. L’association Stop Civiphobia milite pour faire connaître ce terme, et pour rappeler une vérité simple : Une nation forte est une nation unie. Aucun citoyen ne devrait être exclu de sa propre patrie.